L’informatique de gestion est complexe. Notre travail est d’analyser le quotidien de nos clients dans leurs moindres détails. Nous poussons la complexité de certaines situations de gestion à leur paroxysme pour que notre outil soit le plus complet possible. Alors, la simplicité, c’est des fois un vrai défi.
Notre premier challenge était donc de simplifier. Un logiciel métier c’est un produit pour répondre à tous les besoins. Pas une app d’un côté, une GMAO de l’autre. Et le tout dans le cloud pour plus de tranquillité pour nos utilisateurs.
Deuxième challenge : combler les manques. Nous avons travaillé sur beaucoup de sujets mais les deux fonctionnalités les plus emblématiques aujourd’hui sont le Devis-Travaux et la Facturation à la situation.
Le Devis-Travaux, dont nous parlions ici, est un devis à chapitres (multi-niveaux) dans lequel vous pouvez importer des ouvrages pré-enregistrés dans une bibliothèque. Il fallait aussi revoir notre système de tarifs. Nous sommes passés de : (Prix d’achat + marge) + prestations = Prix à Prix = (prix d’achat + marge + prestations).
“On retrouve ici le même fonctionnement que dans le bâtiment. Le devis travaux est divisé par chapitre. Les chapitres peuvent être organisés comme nos utilisateurs le souhaitent. Les éléments tarifaires englobent à la fois les matériaux achetés, la marge et la main d’œuvre. La plupart du temps, les clients de nos utilisateurs négocient soit sur l’enveloppe globale soit sur un chapitre. Il faut donc partir d’un prix final pour recalculer les tarifs d’un chapitre ou des composants d’un chapitre” nous explique Odile Saseras, Product Owner chez Divalto.
La facturation à la situation, quant à elle, permet de générer des factures à l’avancement des travaux, de gérer des acomptes, etc. Elle gère aussi les particularités des marchés publics comme la retenue de garantie.
Et forcément tous les workflows qui vont avec ces deux fonctionnalités : comment constate-t-on qu’un chantier a avancé ? Quand peut-il être facturé ? Etc.